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Un peu d’histoire
Comme souvent dans l’histoire de l’alimentation, les explications sur l’origine de ce petit gâteau à base de farine, de lait, de sucre, de vanille et de rhum divergent. La version la plus répandue, raconte que la naissance du cannelé serait liée au petit gâteau que préparaient les religieuses au 16ème siècle dans le couvent bordelais des Annonciades . Ce gâteau nommé canelat ou canelet, était alors roulé autour d’une tige de canne avant d’être frit, d’où son nom. Un autre récit assure que le canelé devrait son nom aux canaules, un pain à base de farine et de jaunes d’œufs fabriqué par une corporation d’artisans nommés les canauliers au 17ème siècle.
Les ingrédients
50 cl de lait
1⁄2 gousse de vanille
1 cuillère à soupe de rhum
100 g de farine
250 g de sucre en poudre
50 g de beurre doux (+ 50 g pour beurrer les moules)
1 pincée de sel
2 oeufs entiers
Réalisation de la recette
Faire bouillir le lait avec la gousse de vanille préalablement fendue et égrainée et le beurre.
Pendant ce temps, mélanger la farine et le sucre dans un saladier
puis incorporer les oeufs d’un seul coup
et verser ensuite le lait bouillant.
Mélanger doucement afin d’obtenir une pâte fluide comme une pâte à crêpes. Laisser refroidir.
Puis ajouter le rhum
Avant de placer au réfrigérateur et de laisser reposer une heure.
Préchauffer le four à 240°C (thermostat 8) avec la tôle sur laquelle cuiront les canelés [si vous utilisez un moule en silicone, mettez le four à – maximum 220°C (thermostat 6-7)]. Verser l’appareil bien refroidi dans les moules bien beurrés, en ne les remplissant qu’à moitié.
rapidement, disposer les canelés sur la tôle du four préchauffé, à 240°C, pendant 12 minutes (20 minutes à 220°C avec un moule en silicone), puis baisser la température à 180°C (thermostat 6) et continuer la cuisson pendant 1 heure : le cannelé doit avoir une croûte brune et un intérieur bien moelleux.
« La nature, en cuisine comme en amour, nous donne rarement le goût de ce qui nous est mauvais. » Charles Baudelaire
Contenants
grammages
volumes
1 grand bol
350 g
40 cl
1 assiette à soupe
250 à 300 g
25 cl
1 tasse ou un mug
200 à 250 g
20 à 25 cl
Avez-vous déjà vu une famille d’allumettes ?
Discussions dans une boîte d’allumettes
Trois allumettes, dont une plus petite que les deux autres, discutent dans une boite d’allumettes. La plus petite interpelle la plus grande : « Papa, le père de Julien dit qu’il va allumer le soleil » lui lance-t-il. Le père est sceptique : « oh tu sais, le père de Julien il dit beaucoup de choses ». Surgit une allumette à moitié calcinée : « Je vous ai raconté la fois où j’ai allumé une bougie ? » dit-elle avec avec une voix de vieillard. « Et toi Papa, tu vas allumer quoi » reprend le fils, tout excité. « Tu sais, Kevin, aucune allumette ne peut savoir ce que lui réserve le destin » lui répond le père, fataliste. « Mais même allumer un simple chauffe-eau, c’est déjà pas mal ». La 3ème allumette prend la parole : « Oui enfin le chauffe-eau, c’est quand même pas…mmm » commente-t-elle, dubitative.
La boite d’allumettes s’ouvre
Une main saisit les trois allumettes qui sourient. « Le grand jour » s’exclame le père, tandis que le fils, tout excité, lance des « oh oui, oh oui. Peut-être qu’on va allumer la flamme olympique ! » « Oui, peut-être fiston, je sais pas », répond le père, essouflé.
Que vont devenir les trois allumettes ?
On retrouve les trois allumettes, la mine déconfite, collées les aune aux autres, avec d’autres allumettes. « Papa, c’est quand qu’elle arrive la flamme olympique? » interroge le fils. « Kevin, je t’ai dit, déjà, je ne sais, aucune allumette ne peut savoir » lui répond le père. L’image se dézoome, on découvre une tour Eiffel en allumettes sur une table…